Quels sont les risques d’une mauvaise qualité de l’air dans un laboratoire ?

Le sujet traité peut vous paraître logique, mais une connaissance parfaite des risques permet la prise de conscience nécessaire à la mise en place des solutions pour les diminuer. Et le risque n’est pas QUE humain, une mauvaise qualité de l’air impact vos équipements et la fiabilité de ces derniers.

La qualité de l’air de son lieu de travail doit être une priorité. Vos collaborateurs peuvent être exposées à un environnement contenant des produits nocifs pouvant mettre en danger leur santé.

Entre l’azote, le CO2, l’argon et les produits chimiques acido-basiques le corps est exposé à de nombreux agents dangereux.

Avec l’amélioration continue de l’efficacité des systèmes d’isolation nous nous retrouvons aujourd’hui avec des laboratoires “hermétiques”. L’air ne se renouvelant plus, les vapeurs nocives s’accumulent et cela augmente les risques d’intoxication.

• Concrètement, quels sont les risques pour le corps humain ?

Les premiers signes d’une mauvaise qualité de l’air sont les pathologies respiratoires comme les rhinites ou bronchites, mais aussi les maux de tête, fatigue chronique, irritations des yeux et de la peau, etc…

Un contact régulier avec environnement “pollué” peut créer et/ou amplifier certaines maladies allergiques comme l’asthme, les conjonctivites, et même les allergies alimentaires.

La qualité de l’air doit être une préoccupation majeure à tous les niveaux pour assurer la sécurité et le confort de vos collaborateurs.

La qualité de l’air dans vos laboratoires affecte également vos équipements. Sauf exception, ces derniers ne sont pas étanches et sont vulnérables aux agents présents dans l’air.

Un taux d’acide important dans la pièce va participer fortement à la corrosion de vos équipements, et vous obligera à réparer ou changer votre matériel. Ce sont des dépenses imprévues et facilement évitable.

Plus grave : les cocktails de vapeurs de solvants et la non-étanchéité de vos équipements peut provoquer des étincelles et créer un départ de flamme.

Pour parer à tous ces risques, il existe de nombreuses possibilités qui pourront vous assurer une sécurité maximale.

La mise en place d’une hotte PCR/PSM est fortement recommandée, cette dernière va filtrer la quasi-totalité des agents dangereux dans l’air ambiant.

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Et comme dit le dicton « Il vaut mieux prévenir que guérir », la mise en place de détecteurs est aussi fortement conseillée pour éviter des complications. Pour en savoir plus sur le sujet, il vous suffit de cliquer ici :

Vous en savez maintenant plus sur les risques d’une mauvaise qualité de l’air au sein d’un laboratoire, ainsi que quelques conseils pour les éviter. Mais si toutefois le doute persiste, n’hésitez pas à nous contacter 😉